Yûichi Yokoyama
Né en 1967 dans la préfecture de Miyazaki, Yûichi Yokoyama vit et travaille à Yokohama, au sud de Tokyo. Diplômé de Musashino Art University (option principale peinture à l’huile), il s’est d’abord consacré exclusivement à la peinture avant d’étendre ses recherches graphiques et picturales à l’illustration puis de se consacrer prioritairement à la bande dessinée — ou plus exactement à ce qu’il nomme « néo-manga » grâce auquel, dit-il, conformément au titre de sa première exposition rétrospective au Kawasaki City Museum : « Je dessine le temps. »
D’abord découvert en France par l’entremise des Éditions Matière (Travaux publics, 2004), Yûichi Yokoyama a composé de nombreux ouvrages de bande dessinée (Combats, Voyage, Jardin, Nouveaux Corps, Explorations, Baby boom, Room, La Salle de la mappemonde, La Terre de glace, Astronautes, Plaza, Burning Sounds, Neo-Man’yôshû), dont la presque totalité a été traduite et publiée en français par les Éditions Matière. Hors Japon, certains d’entre eux ont également été publiés aux États-Unis d’Amérique, en Espagne, au Portugal, en Italie, en Russie, en Chine et au Royaume-Uni. L’ouvrage Yokoyama Yûichi painting (Bluemark, Japon) rassemble l’essentiel de ses peintures, tandis que Fashion and the locked room (888 books, Japon) documente sa spectaculaire contribution au corner Hermès du grand magasin Isetan dans le quartier de Shinjuku à Tokyo. La revue ISI Press lui a consacré l’intégralité de son troisième numéro (2020).
Yûichi Yokoyama a participé à de nombreuses expositions personnelles et collectives au Japon et à l’étranger, parmi lesquelles « Toute la documentation sur le néo-manga : je dessine le temps » (Kawasaki City Museum, 2010), « This is neo wall. Gathering celebrities and beasts » (Kyoto International Manga Museum, 2015), « The world is strange! The manga and paintings of Tiger Tateishi and Yûichi Yokoyama » (Hiroshima City Museum of Contemporary Art, Japon, 2016), « Doboku. Civil engineering in Shanghai » (Modern Art Museum Shanghai, 2018), « Enfance. Encore un jour banane pour le poisson-rêve » (Palais de Tokyo, Paris, 2018), « Earth Day » (Anomaly, Tokyo, 2024).
Représenté par les galeries tokyoïtes Anomaly et Nanzuka, Yûichi Yokoyama a trouvé à Paris un lieu d’accueil et d’exposition à la galerie anne barrault.
REVUE DE PRESSE
Zoom Japon (n°43), Jean Derome (entretien avec Yûichi Yokoyama), 1/9/2014Accrochage de peintures, sérigraphies et esquisses de bandes dessinées (Jardin) de Yûichi Yokoyama au sein de l’exposition « Manga » au Signe, Centre national du graphisme.
« Le manga — bande dessinée d’origine japonaise — a longtemps été considéré comme un style mineur parmi les arts visuels. Son économie de moyens, pour répondre au rythme élevé des parutions, a imposé un certain style graphique, aisément reconnaissable. L’exposition “Manga” a pour volonté de redonner ses lettres de noblesse à l’une des formes de narration les plus populaires dans le monde, notamment en France, 2e pays consommateur de mangas après le Japon, en montrant les potentialités contemporaines de cette forme. »
(Jean-Michel Geridan.)
Le Signe
Centre national du graphisme
1 place Émile Goguenheim
52000 Chaumont
du 21 juin au 23 octobre 2022
ci-dessous__ vues de l’exposition « Manga », Le Signe, 2022. © Marc Domage.
Accrochage de peintures, esquisses, sérigraphies et documents de travail de Yûichi Yokoyama à la Villa Belleville dans le cadre du parcours d’éditeur·trices indépendant·es Offprint Paris (11-14 novembre 2021).
Filmé en juin 2018 dans les sous-sols du Palais de Tokyo (Paris), peu avant le vernissage de l’exposition collective « Encore un jour banane pour le poisson-rêve », Yûichi Yokoyama répond aux questions de Valérie Paillé pour l’émission Tracks, diffusée sur Arte en avril 2019.
Sac dessiné pour les dix ans de la boutique tokyoïte Nadiff a/p/a/r/t, février 2019.
Quelque part à Tokyo, en 2018.
À partir de croquis de Yûichi Yokoyama et sous l’impulsion de Kodama Kanazawa, Jacques Loire (ici filmé dans son atelier près de Chartres) a conçu les vitraux exposés au Palais de Tokyo dans l’exposition « Encore un jour banane pour le poisson-rêve ».
Invité à participer à l’exposition « Encore un jour banane pour le poisson-rêve » (d’après le titre modifié d’une nouvelle de J. D. Salinger) sur le thème de l’enfance, Yûichi Yokoyama, en collaboration avec les Ateliers Loire, installe, à l’extrémité de canons à lumière, une série de vitraux au plafond du Palais de Tokyo.
Yokoyama crée en outre deux bandes dessinées exclusives sur le thème de la chimère pour le catalogue de l’exposition.
Exposition co-organisée avec la Fondation du Japon dans le cadre de « Japonismes 2018 ».
du 22 juin au 9 septembre 2018
Palais de Tokyo
13 avenue du Président-Wilson
75016 Paris
Étape n° 2 du programme « Yokoyama à Paris » : lancement de La Terre de glace EN PRÉSENCE DE YOKOYAMA.
Le Monte-en-l’air
71 rue de Ménilmontant
Paris 20e
(métro Ménilmontant, bus 96)
mardi 19 juin 2018 à partir de 18 heures
À côté de Jochen Gerner, Yûichi Yokoyama expose pour la première fois les collages qu’il réalise depuis 2015 à partir de fragments découpés dans ses planches de bande dessinée.
Étape n° 1 du programme « Yokoyama à Paris » : Yûichi Yokoyama sera présent au vernissage, samedi 16 juin à 16h00. Il dédicacera son dernier ouvrage, La Terre de glace.
du 16 juin au 28 juillet 2018
galerie anne barrault
51 rue des Archives
75003 Paris
Le musée d’Art moderne et contemporain (Mamco) de Genève a souhaité confier l’exposition d’ouverture de son cabinet d’arts graphiques à Yûichi Yokoyama. L’accrochage présente planches de bandes dessinées, esquisses préparatoires et collages couleur.
(commissaires : Fabrice Stroun & Mathis Gasser.)
du 30 mai au 9 septembre 2018
Mamco
10 rue des Vieux-Grenadiers
1205 Genève
Participation de Yûichi Yokoyama à l’exposition qui emprunte son titre au titre original de Travaux publics.
Modern Art Museum Shanghai
4777 Binjiang Da Dao, Pudong
Shanghai, Chine
du 31 mars au 24 juin 2018
Planches extraites de Baby boom employées pour décorer le café du capsule hotel Shell Nell, à Osaka (2018).
« L’exposition Dominos s’intéresse aux relations complexes qui existent entre la BD et l’art contemporain. On y trouvera aussi bien des artistes produisant des récits en images comme Jim Shaw, que des auteurs de BD s’inspirant du champ de l’art comme Yûichi Yokoyama. Cette exposition s’articule selon le principe de la séquence, une image en appelant toujours une autre… »
Œuvres de Öyvind Fahlström, Freistilmuseum, Peter Halley, Steven Parrino, Niklaus Rüegg, Jim Shaw et Yûichi Yokoyama.
Circuit
Centre d’art contemporain
9 avenue de Montchoisi, Lausanne
du 11 septembre au 17 octobre 2015
À l’occasion de la parution de son dernier ouvrage Fashion and Closed Room, aux éditions 888 Books, plusieurs événements consacrés à Yûichi Yokoyama sont organisés conjointement, à Tokyo, par les galeries Arataniurano et NADiff :
__ exposition « Fashion and Closed room » à la galerie Arataniurano , du 30 mai au 4 juillet 2015
;
__ exposition « Fashion and Closed room » à la boutique NADiff a/p/a/r/t, du 5 juin au 3 juillet 2015 ;
__ « L’atelier de Yokoyama » animé par le dessinateur, le samedi 13 juin 2015 (14-17 heures) et le dimanche 28 juillet 2015 (14-17 heures), à la boutique NADiff a/p/a/r/t (séances de dédicace à partir de 17 heures) ;
__ « Brocante Yokoyama » : pendant toute la durée de l’expo « Fashion and Closed room », et parallèlement à celle-ci, exposition-vente d’objets personnels de Yûichi Yokoyama, à la boutique NADiff a/p/a/r/t ;
__ « Bibliothèque Yokoyama » : une sélection de livres de littérature, de poésie et de photographie proposée par Yûichi Yokoyama à la boutique NADiff modern (grand magasin Bunkamura, Shibuya), du 5 juin au 3 juillet 2015.
Sur l’un des murs de façade du Musée international du manga de Kyoto sont projetées des images spécialement réalisée pour l’occasion par Yûichi Yokoyama, tandis qu’une salle du musée accueille les planches originales d’un récit dans une scénographie originale dérivée du décor de celui-ci.
« This is Neo Wall. Gathering Celebrities and Beasts »
Kyoto International Manga Museum
du 6 mars au 31 mai 2015
Pour célébrer la réouverture, le 1er novembre 2014, de sa boutique située dans le grand magasin Isetan de Shinjuku (Tokyo), Hermès a choisi de faire appel à Yokoyama. Celui‑ci a conçu l’illustration de fond de la vitrine principale, un récit en bande dessinée mettant en scène à sa façon les signes emblématiques et l’univers de la marque, ainsi qu’une série d’affiches, de cartons d’invitation et d’illustrations publicitaires.
L’exposition collective présente des planches de bande dessinée de de Yûichi Yokoyama parmi des travaux de Noe Aoki, Koji Enokura, Kazunari Hattori, Akihisa Hirata, Ryoji Ikeda, Teppei Kaneuji, Yayoi Kusama, Taiji Matsue, Masayasu Mitsuke, Tatsuo Miyajima, Hiroshi Sugito, Go Watanabe.
Museum Haus Konstruktiv
Selnaustrasse 25, Zurich
du 2 octobre 2014 au 11 January 2015
Première exposition monographique de Yûichi Yokoyama en Europe !
« Figure atypique à plus d’un titre, chef de file du néo‑manga, Yûichi Yokoyama a fait du manga l’accomplissement d’un art lié à la peinture. Ses narrations à la fois cliniques, linéaires et absolument dépaysantes, prennent place dans le monde urbain et technologique. La déambulation de personnages masqués dans ces univers artificiels quasi extra-terrestres et les métamorphoses du paysage placent le lecteur sur un radeau temporel. Chez lui, la nature est reconstruite par la technique ou encore enfermée dans des serres au milieu de la ville. Si son vocabulaire graphique emprunt de géométrie rapproche son œuvre de l’abstraction, le dessin est un dépaysement total digne des Prouns de l’artiste El Lissitzky, “station d’aiguillage entre peinture et architecture” : une définition que l’on pourrait ici appliquer à la rencontre entre la peinture et la bande dessinée. L’exposition montrera les liens entre peinture et manga. Elle proposera aussi un espace dédié à la lecture et à la restitution d’ateliers. »
(Kodama Kanazawa, commissaire.)
Le Pavillon Blanc, Colomiers (31)
du 27 septembre au 20 décembre 2014
« Littéralement, il […] procède toujours comme s’il fallait qu’il y eût le maximum d’écrans entre la nature et lui, […] tout se passe comme si le beau était dépourvu d’importance et comme si, de l’art, ne devait être retenu que l’invention, soit la part de conception pure par laquelle l’art décolle de la réalité. Pour toutes ses oeuvres, l’on constate que la trame (armature de l’oeuvre ou point de départ) est d’ordre artificiel et non pas naturel. »
extrait de Michel Leiris, « Conception et réalité chez Raymond Roussel », in Raymond Roussel, Épaves, Paris, Jean‑Jacques Pauvert éditeur, 1972, p. 15-16.
22 rue Saint-Claude, Paris 3e
mardi 18 mars 2014
de 18 à 21 heures
Après leur exposition à Angoulême, lancement sous les auspices de la galerie anne barrault de Nouveaux Travaux publics et La Capitale et moi, deux sérigraphies de Yûichi Yokoyama coproduites par les Éditions Matière, Collection revue et L’Institut sérigraphique.
foff 2014, Angoulême
vendredi 30 janvier
L’édition 2014 du foff est l’occasion de présenter deux sérigraphies réalisées par Séverine Bascouert (L’Institut sérigraphique) à partir de dessins couleur de Yûichi Yokoyama, La Capitale et moi et Nouveaux Travaux publics.
Une pièce du Moon, l’ancienne boîte de nuit interlope où se déroule le festival, est consacrée à l’accrochage des deux reproductions et à la présentation de quelques outils et étapes de leur exécution : les polyesters employés comme écrans, les trames Deleter, les « films masque ». Sur l’un des murs sont présentées les recherches couleur de Séverine Bascouert : bouts d’essais, tests de transparence des encres, chronologie analytique des passages colorés… Autant d’éléments qui permettent d’appréhender la façon dont Séverine Bascouert a reconstitué les images de Yokoyama en serrant au plus près les techniques de composition de Yokoyama.
Dans la foulée de l’inauguration de cette petite exposition est lancée ce qui restera comme l’un des points d’orgue de cette édition du foff 2014 : la compétition internationale de hula-hoop organisée par les Éditions Matière. En deux manches et une finale chronométrées avec une rigueur toute professionnelle par Maxime Milanesi, des Éditions FP&CF, cinq concurrents s’affrontent devant un public chauffé à blanc par la bière blonde du foff.
Au terme d’un duel interminable, Carine-je-fais-du-hula-hoop-en-fumant-en-téléphonant-en-lisant-des-bouquins l’a emporté d’une courte hanche sur Anne-Émilie-je-fais-du-hula-hoop-comme-j’ondule-comme-je-respire.
Carine, par ailleurs volontaire et barmaid du foff, emporte ainsi l’un des t-shirts Yokoyama édités par Collection revue, Éditions Matière et l’Institut sérigraphique, et parade avec derrière le comptoir du Moon tandis qu’Anne-Émilie se console avec un exemplaire de Baby boom, le dernier ouvrage de l’artiste japonais.
(Pour une description complète des quatre journées foff à Angoulême, voir le reportage réalisé par Collection revue.)
La collection 2[w] est publiée par les éditions suisses B.ü.L.b comix. Elle consiste en une série de mini leporello de 11 volets imprimés recto verso (3,5 x 4,5 cm), réunis cinq à cinq dans une boîte (autrement appelée 2WBOX) estampillée d’une lettre de l’alphabet. L’illustration de chaque accordéon est confié à un artiste différent. La collection 2[w], commencée à la lettre A s’achève en septembre 2013, logiquement, avec la parution de la trente-sixième boîte, la splendide 2wBOX Set Z.
Pour cet ultime set, B.ü.L.b comix a sollicité la contribution de Jockum Nordström, Elvis Studio, Blexbolex, Nicholay Baker et… Yûichi Yokoyama. En collaboration avec l’artiste et avec B.ü.L.b comix, les Éditions Matière se sont chargées de sélectionner deux dessins de Yokoyama, de les composer en leporello et de les coloriser.
Toujours à l’affût de ce qui se fait de meilleur en dessin et dans l’édition, Collection Revue a publié sur son blog une interview des éditeurs de B.ü.L.b.
Durant la triennale Aichi 2013, les habitants de Nagoya ont pu côtoyer des agrandissements des cases du dernier ouvrage de Yûichi Yokoyama, Salle de la mappemonde, affichés en divers lieux de la ville.
Invité à participer à la triennale d’art contemporain de Aichi (Nagoya, du 10 août au 27 octobre 2013), Yûichi Yokoyama a recouvert trois véhicules de ses dessins, et ainsi transposé grandeur nature une idée développée dans son manga « Travail manuel ».
Le modèle de voiture retenu par les organisateurs, une Toyota Prius, ne restitue certes qu’aproximativement le véhicule à monter soi-même mis en scène dans le bref récit‑manuel-de-montage paru dans le recueil Nouveaux Corps : une voiture qui porte, inscrite à même sa carrosserie, les onomatopées employées conventionnellement pour signifier son fonctionnement.
La compagnie de théâtre italienne Dewey Dell s’est associée au dramaturge Kuro Tanino (directeur de la troupe Niwagekidan Penino) pour concevoir son nouveau spectacle. Marzo, dont la première a eu lieu lors de l’édition 2013 du steirischer herbst festival (Graz, Autriche), associe pantomime, parole et chorégraphie.
Dewey Dell a demandé à Yûichi Yokoyama de concevoir les costumes de Marzo. Interrogé à ce sujet, Yokoyama affirme dans le reportage que lui consacre le numéro spécial Japon de la revue Back Cover : « J’ai horreur d’aller au théâtre. Je préfère éviter. Il y a de grandes chances pour que je n’aille pas voir cette pièce. »
Pour les autres, une bande annonce de Marzo est visible en ligne.
Marzo est programmé dans le cadre du Festival parallèle 04 au théâtre Joliette Minoterie, à Marseille, le 1er février 2014.
Le numéro 6 de la revue Back Cover, conçu et piloté depuis la Villa Kujoyama, à Kyoto, par Alexandre Dimos, est intégralement consacré au design graphique, à la typographie, à la culture populaire et à la création contemporaine au Japon. Deux articles y sont consacrés à Yûichi Yokoyama.
Le premier est un reportage, réalisé par son éditeur français Laurent Bruel, focalisé sur l’atelier de l’artiste à Sayama (département de Saitama en banlieue nord de Tokyo). On y découvre pour la première fois le lieu et les conditions de travail de Yûichi Yokoyama. L’artiste détaille ses principales méthodes de travail, précise sa conception du manga et du livre, et tire inlassablement des étagères et tiroirs de sa modeste cabane feutres fluos, règles en plastique, cassettes audio, CD musicaux et nombre d’imprimés qui constituent ses lectures et ses sources de stimulation visuelle…
Le second article, rédigé par la commissaire d’exposition Kodama Kanazawa, replace la production de Yokoyama dans l’histoire et le contexte contemporain de la bande dessinée japonaise, puis formule une définition sensible du « style Yokoyama ».
Kawasaki City Museum
avril-juin 2010
Sous ce titre étrange et quelque peu bavard se tient dans la ville de Kawasaki, non loin de Tokyo, la première grande exposition monographique de Yûichi Yokoyama. L’exposition présente un grand nombre de planches originales, mais aussi des peintures et des documents de travail prêtés par Yokoyama — très investi dans le projet.
La conservatrice Kodama Kanazawa, commissaire de l’exposition, en a confié la scénographie au cabinet Torafu Architects, et le graphisme à Kazunori Hattori.
Pendant la durée de l’exposition, Yokoyama alterne réalisation de travaux en public et rencontre avec les visiteurs du musée.
Aix-en-Provence
du 19 mars au 26 avril 2008
Dessins de Jacques Ristorcelli (aka Risto) et Yûichi Yokoyama exposés à l’Office de tourisme dans le cadre du festival Rencontres du 9e art.