Pigments à l’œuvre.
[…] Yûichi Yokoyama, à la façon d’un orfèvre devant une simple feuille de papier, déploie toutes les possibilités d’une mythologie contemporaine. Ses cases sont des successions de motifs d’une genèse en branle, de sentiers à fouler aux pierres sur des chemins, de torrents en décrues, de fuites en entassements, de chutes en métamorphoses. Il pleut puis le soleil est plombant, des personnages s’amusent puis se dérobent, ils croient atteindre un terrain mais déjà il s’effrite ; on pourrait tout faire dire aux murs et aux espaces clos et ouverts, voir en chaque élément un symbole temporel ou spatial, et associer à chaque idéogramme, ou à chaque son, une signification, mais il semble qu’il n’y ait aucune enveloppe à décacheter. […]
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