Eugénie Lavenant
1975. Formation des Sex Pistols. Les disquaires distribuent Physical Graffiti de Led Zeppelin, Young Americans de David Bowie, Radio-activity de Kraftwerk. Bob Dylan enchaîne Blood on the tracks et The Basement tapes. La Papouasie-Nouvelle-Guinée gagne son indépendance. Eugénie Lavenant pousse ses premiers cris.
De fait, rien de ce qui murmure ou qui hurle dans un micro, rien de ce qui se déhanche sur une scène, rien de ce qui brille, porte paillettes, peintures faciales, scarifications ou plumes ne saurait laisser Eugénie Lavenant indifférente.
Elle réalise et publie le fanzine Tricote. Ses dessins illustrent régulièrement les pages du magazine Rock & Folk. Elle a participé en 2008 à l’exposition « Des jeunes gens mödernes » (post-punk, cold wave et culture novö en France, 1978-1983) organisée à la Galerie du jour et dans les supérettes agnès b. de Paris et Hong‑Kong.
REVUE DE PRESSE
GQ (website), Joseph Ghosn, 30/10/2008Après plus d’un an de collaboration, Eugénie Lavenant et Jean Vautrin signent en 2013, aux éditions Sarbacane, l’adaptation en bande dessinée de la nouvelle de Vautrin intitulée « Le pogo aux yeux rouges », extraite du recueil Baby Boom (Payot, coll. « Rivages noirs »).
de haut en bas et de gauche à droite :
1_ AC/DC, exposition « Vis-à-vis », galerie PremArts, Berlin, 2009
2_ Lemmy, paru dans Rock & Folk, février 2010
3_ Tricote, n° 5, août 2006